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Je l'aime alors je la quitte
En deux mots
Une comédie sidérante dont le titre ne laisse rien deviner...
Synopsis
"On est en train d'enfanter les ogres de demain."
Pour aller plus loin
Étonnante fable que celle ainsi signée par Ilan Zerrouki… C’est en format Scope que le réalisateur installe sa fiction alternée entre un duo masculin dans l’espace et un duo féminin sur Terre. L’humour naît de la situation que le public comprend progressivement, par le déplacement de la caméra entre les murs de l’atelier-cabane, qui révèle l’intérieur d’une fusée amateur en pleine avancée spatiale.
Fan d’univers fantasque, l’auteur situe une querelle de couple en moteur de l’action, via une conversation téléphonique ubuesque, où une donzelle somme son homme de rentrer et de s’expliquer. Le trivial se mêle à la science-fiction, et la parabole à la comédie, pour nous dire que les hommes ont besoin de cultiver leur jardin secret, et que les femmes n’en ont pas toujours la clé.
Je l’aime alors je la quitte fait suite aux précédents courts du cinéaste, dont les titres rivalisent d’invitation à l’imaginaire et à l’aventure, d’Un trésor égyptien à Je suis la véritable histoire de la petite souris. L’écologie s’invite aussi, avec la fusée faite de bric et de broc dans le jardin de l’ami du héros. La récupération a du bon et ne signifie nullement que le résultat soit moins satisfaisant. L’engin a bien rejoint les étoiles !
Générique
Production IZ POST
Scénario Ilan Zerrouki Interprétation Ilan Zerrouki