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Vive la vie de garçon
En deux mots
Il y a 115 ans ! La vie maritale... Interprété par Max Linder lui-même ! À voir absolument !
Synopsis
Après une scène de ménage, la femme de Max le quitte et retourne chez sa mère. Max est fou de joie, mais pas pour longtemps : il ne soupçonnait pas la difficulté à assumer les tâches ménagères.
Pour aller plus loin
Revenir aux classiques enrichit toujours notre regard sur le cinéma. Max Linder (1883-1925) était aux manettes de cette chronique burlesque datant de 1908. Il s’agit donc d’une de ses premières réalisations, parmi une mirobolante filmographie de plus de cent titres comme auteur, d’où émergent les classiques de sa fin de carrière : Sept ans de malheur (1921) et L’étroit mousquetaire (1922).
L’intrigue est simple et concrète. Le héros, campé par Linder lui-même, est un mari nombriliste et ennuyeux, soudainement quitté par son épouse qui n’en peut plus de cette vie conjugale sans intérêt. Tout d’abord extatique de retrouver une existence de célibataire, l’énergumène découvre bien vite qu’il est incapable d’assurer les rudiments de son fonctionnement quotidien, enchaînant les bourdes – à domicile comme en extérieur – et empoissonnant son mode même de fonctionnement.
Le comique naît de l’inadaptabilité de l’homme aux tâches ménagères, conférant illico la femme à la place de bobonne juste utile à assurer cuisine, vaisselle, ménage et courses. Le retour final de l’héroïne, chaperonnée par sa mère, alors que l’appartement est dans un chaos total, lui donne le rôle de sauveuse de la catastrophe. Mais le bonheur existentiel est-il sauf ? Suspense !
Générique
Production Lobster Films